Par michel Montignac
Par michel Montignac
Une étude franco-américaine présentée au 18e Congrès Mondial de Nutrition qui s’est tenu dernièrement à Durban (Afrique du Sud) a montré que les Polyphénols du thé vert ont une double action : une amélioration de la sensibilité à l’insuline et une diminution du stress oxydatif, deux mécanismes qui sont précisément altérés dans le syndrome métabolique dont l’obésité est un des facteurs essentiels.
Pendant de nombreuses années, les anglais et en particulier les anglaises ont affiché un profil pondéral exemplaire. De là à penser que les Britanniques ont beaucoup grossi parce qu’ils ne boivent plus de thé, il n’y a qu’un pas qu’il semble logique de franchir.